| Titre de la revue Revue canadienne de l'AMM. |
| Périodicité de la publication 3 fois par année (mars, juin, octobre) |
| DOI 10.XXXXX/maid |
À propos de cette revue
À propos de cette revue
La Revue canadienne de l’aide médicale à mourir (AMM) est publiée deux fois par année en anglais et en français. Elle présente des articles évalués par des pairs qui offrent des perspectives cliniques solides et des conseils pratiques sur l’approche de l’aide médicale à mourir. Le contenu de la Revue canadienne de l’AMM est en libre accès, ce qui signifie qu’il est accessible gratuitement aux utilisateurs et à leurs institutions. Les articles sont publiés sous licence CC BY-NC-ND et peuvent être copiés, imprimés, redistribués ou liés intégralement à des fins non commerciales, tant que la source soit citée et que le contenu ne soit pas modifié.
Les articles publiés par la Revue canadienne de l’AMM sont admissibles aux crédits de développement professionnel continu (DPC) de la section 2 (apprentissage individuel) du programme de maintien de la certification (MDC) du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. Veuillez consulter le site Web de votre programme pour en savoir plus sur la façon dont les articles de revues peuvent répondre à vos besoins en matière de DPC.
Objectifs de la revue
La Revue canadienne de l’aide médicale à mourir (AMM) vise à offrir aux cliniciens des perspectives utiles et des renseignements sur l’approche de l’aide médicale à mourir et à leur fournir un forum pour partager leur expérience pratique en matière de traitement et de prise en charge de leurs patients. La Revue canadienne de l’AMM publie des articles sous les rubriques de l’aide médicale à mourir (clinique, politiques, etc.), mais peut accepter d’autres types d’articles à la discrétion du comité de planification. Les articles doivent être rédigés comme articles de synthèse, être bien référencés et se concentrer sur un aspect de la pratique de la gestion de l’aide médicale à mourir. Les articles de perspective clinique peuvent s’agir soit d’une réflexion appuyée sur l’expérience vécue en clinique, soit d’une discussion de nouveaux programmes, des outils et des approches réalistes pour la pratique ou le développement professionnel. La Revue canadienne de l’AMM n’impose pas de limite de longueur pour les manuscrits, mais suggère que les soumissions ne dépassent pas 2 000 mots, figures et références à part.
Politiques de rédaction
La Revue canadienne de l’aide médicale à mourir (AMM) est une revue scientifique évaluée par des pairs. Tous les manuscrits soumis sont analysés par un comité de planification formé de clinicien(nes) experts ayant des dossiers de publications bien établis dans le domaine de l’aide médicale à mourir. Tous manuscrits soumis à la Revue canadienne de l’AMM seront évalués selon les objectifs de la revue précités ainsi que ses critères de soumission. Le comité de rédaction analyse le contenu et la qualité scientifique en processus d’évaluation par les pairs en simple aveugle. L’auteur(e) principal(e), qui est généralement aussi l’auteur(e) correspondant(e), est responsable pour la soumission de l’article et doit s’engager à assurer un suivi rapide (dans un délai de 72 heures) pendant la période de rédaction. Tous les articles soumis à la Revue canadienne de l’AMM doivent respecter ses politiques de rédaction pour être pris en considération. La Revue canadienne de l’AMM n’exige aucun frais de traitement d’article ni aucun autre frais pour la soumission ou la publication d’un manuscrit.
À propos de l'éditeur
La Revue canadienne de l’AMM est publiée par une agence torontoise de communications médicaux et un éditeur de plusieurs revues scientifiques pour des spécialités médicales variées. Son équipe de rédaction inclut plus que 20 employé(es) à temps plein ou partiel, soit de personnel de rédaction scientifique et de professionnel(les) en formation médicale.
Contribution financière
L'Association Canadienne des Évaluateurs et Prestataires de l'AMM souhaite remercier Santé Canada pour sa contribution financière à la Revue canadienne de l’AMM. Les opinions exprimées dans le présent document ne reflètent pas nécessairement celles de Santé Canada.
